Les célébrations dans nos églises ont été successivement interdites, puis ont fait l’objet d’une limitation à 15 participants. Cela nous bouscule et nous interrogé sur le sens de la Messe proprement dite, et, plus particulièrement, de l’Eucharistie au cœur même de la Messe. Cela nous invite à retrouver tout simplement le sens de l’Eucharistie, signe sacramentel de la présence nourrissante et vivifiante du Christ au cœur même de notre existence.
Pour aller plus loin dans la compréhension de l’Eucharistie dans nos vies, trois textes peuvent nous aider.
Hors de la messe, pas de salut ?
Monique Baujard, doctorante en théologie et Anne-Marie Pelletier, bibliste, ont réagi à la saisie du Conseil d’État par de nombreux évêques demandant la levée de l’interdiction des cultes publics. Lire la tribune de La Croix.
Ce qui nous sauve, ce n’est pas la messe mais bien le Christ.
Dominique Degoul, sj, aumônier d’étudiants, donne quelques conseils pour apprendre l’Eucharistie dans la vie. Lire l’article.
La Messe sur le monde
Le jésuite Pierre Teilhard de Chardin (1881-1955) écrivit cet hymne à l’univers, en Chine, en 1923, alors qu’il ne pouvait pas célébrer l’Eucharistie.
L’Eglise doit être là pour tous, pas seulement pour les croyants
Pour aller plus loin, en ce temps de confinement, un passionnant entretien avec le père Thomas Halik, prêtre tchèque ordonné clandestinement sous le régime communiste. Lire l’entretien.